Youpi.
Du coup j'écoute de la musique cool :
Et voila, en ce jour de tristesse je quitte Toulouse, la prépa, et deux ans de souvenirs plus ou moins agréables, mais surtout des gens super formidables de la vie, dont bien sûr le super THIERRY PASTOR !
Je pourrais citer tous mes copains, mes love, mais bon, ça ferait trop "ovoire my frende" alors que queudalle, on se retrouve tous pour le bien de l'humanité. Donc, je me concentre sur Thierry.
Car oui, THIERRY PASTOR (en majuscules siouplait) vit selon des sources sûres dans la belle ville rose. Et je n'ai jamais pu rencontrer ce génie. Aujourd'hui est donc un jour de deuil dans nos esprits, et particulièrement un moment tragique de l'histoire des clips ringards. Adieu Thierry, I will miss you.
DU LOVE SUR LES ONDES, t'as rien compris, non, rien compris ! Amourlove !
Joann Sfar, bien sûr, je me demande même pourquoi il n'est pas arrivé avant.
Sfar, c'est le début de ma culture BD, avec Sardine de l'espace, puis avec Grand Vampire, puis Le Chat du Rabbin, puis tout le reste, et puis le livre et le film sur Gainsbourg qui ont été des explosions de love chez moi, parce que bon, Gainsbourg + Sfar = bonheur éternel ; et là, courrez voir Le Chat du Rabbin, qui est le meilleur dessin animé de l'année parce qu'il est trop cool et génial et beau et drôle (mais pas trop casher).
Bref, Joann Sfar je t'aime d'amour, love forever et tout ça. Et en plus, il joue du ukulélé. Sisi la famille !
Coeur de love à tous !
Cette fois c'est Tim Burton, idole de mes jeunes années et still mon réalisateur préféré. Bon, je n'ai pas vu le Alice qu'il a commis, mais même s'il semble caca, on peut bien lui passer, non, quand on revoit L'Etrange Noël de Mister Jack ou Edward aux Mains d'Argent ou Sweeney Todd ou Beetlejuice ou tout le reste en fait ?
Moi mon pref' des pref' c'est L'Etrange Noël, ilesttropbienjeleconnaisparcoeurJackjet'aime, tékaté, Tim Burton forever. Je suis prête à (re, malheureusement)devenir emo et à me maquiller comme Jack pour prouver mon love, mais je pense que Burton pleurerait du sang épicé. Sinon son bouquin, Melancholic Death of Oyster Boy and other stories (oui il faut le lire en anglais parce que la traduction française craint du boudin) ist juste fantastique, et les dessins sont mamamia ! A bon entendeur, salut (dieu que j'aime les expressions toutes faites) !
En hommage à mon skyblog du lycée. KISS !
Da li da la di la da di, Boby Lapointe !
Dans la série "merci papa d'écouter de la musique cool au lieu de Dany Brillant ou Claude François", j'ai la tête farcie de jeux de mots complétement tapés, d'allitérations contrepétrées et de calembours à la trompette de ce cher Boby depuis mes quatre ans, époque bénie où je roulais de rire sur le tapis du salon en écoutant Andréa c'est toi (oui, c'est la minute nostalgie, pour maintenir mon lectorat, aussi limité soit-il dans un rapport d'intimité et tout, ouais gros).
NON MAIS PARCE QU'ON RIGOLE ON RIGOLE, MAIS BOBY QUOI. Qui fait de très chouettes et jolies chansons, et drôles en plus, et intelligentes, et cool, et bien écrites, et en fait assez génialissimes. Mais bon forcément, les types merveilleux, pour la plupart, ont décidés de vivre il y a mille ans (oui, bon, un peu moins, certes) alors moi je pleure des larmes de sang et de guacamole, puis je remets le CD et je chante super fort parce que Boby Lapointe on le chante toujours super fort, et ouais les mecs. LE PAPA DU PAPA DU PAPA DE MON PAPA ETAIT UN PETIT PIOUPIOU (et attendez, attendez, vous allez voir la suite) !
L'humour, la poésie, t'inquiéte.
Et ça, c'est ma pref', que j'aime d'amour, qui est dans mon top-des-chansons-que-je-pourrais-écouter-en-boucle, parce que je le trouve presqu'encore plus fort quand il fait une chanson pas rigolote, juste belle, toute simple, "sans chichi" et qui pourtant "est plus jolie que jamais" (même le coeur).
(et on peut aussi écouter celle de Merlot, qui est très chouette)